Wikipédia : récits d'Yves, comme dirait Libé
Sachant
► qu’Antoine Furetière est mort en 1688 ;
► que la première édition de son Dictionnaire universel, source des démêlés avec l’Académie française dont l’auteur était membre et dont il fut exclu, date de 1690 et qu’on peut à bon droit la qualifier de posthume ;
► enfin, que la première édition du Dictionnaire de l’Académie française date de 1694,
l’extrait amphigourique qui suit est-il
cohérent ? exact ? compréhensible ? (rayer les mentions inutiles) :
S’il [Furetière] n’eut pas la satisfaction de voir son œuvre maîtresse publiée de son vivant, l’histoire retiendra qu’elle vint à son terme quatre ans après sa mort avec la première édition du Dictionnaire de l’Académie françoise (1694), et que « Le Furetière », comme on l’appelle familièrement, plus de trois siècles après sa publication, connaît un succès qui ne s’est jamais démenti, comme en témoignent les nombreuses rééditions qu’il a connues jusqu’à nos jours.
At first, the codpiece was entirely a practical matter of modesty. Men’s hose were typically very snug on the legs and open at the crotch, with the genitalia simply hanging loose under the doublet. As changing fashions led to shorter doublets, the codpiece was created to cover the crotch. Alternative versions of the origin of the codpiece exist.[1]
As time passed, codpieces were shaped to emphasize the male genitalia and eventually often became padded and bizarrely shaped. They also often doubled as pockets, handy carrying places for a variety of items such as coins and snuff. In England in the latter half of Queen Elizabeth I’s reign, the codpiece and doublet merged into the “peascod” doublet, and the codpiece faded from fashion.
Armour of the 16th century followed civilian fashion, and for a time armoured codpieces were a prominent addition to the best full harnesses. Few of these are in evidence today, though the Metropolitan Museum of Art in New York City does have one on display, as does the Higgins Armory in Worcester, Massachusetts.[2][3] The armour of Henry VIII in the tower of London has an impressive codpiece.
Renaissance humorist Francois Rabelais wrote a book named “On the Dignity of Codpieces”
1. Kosir, Beth Marie: Modesty to Majesty: The Development of the Codpiece,
http://www.r3.org/life/articles/codpiece.html
2. John Grabenstein, http://www.higgins.org
3. David Edge, Arms and Armor of Medieval Knights: An Illustrated History of Weaponry in the Middle Ages
Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Codpiece
— Au passage, on remarquera l’incohérence orthographique ‘armour’ (UK) ~ ‘humorist’ (US) —
Dans la collectivité des rédacteurs, quelqu’un a pris très au sérieux (sans se donner le mal de vérifier, ni rencontrer de contradiction) l’affirmation du narrateur de Gargantua qui mentionne, dans le Prologue (Mireille Huchon, p. 6) « les joyeux tiltres d’aulcuns livres de notre invention, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La dignité des braguettes, Des poys au lard cum commento etc. » et revient à la charge au chap. VIII (Mireille Huchon, p. 25) « Mais je vous en exposeray bien dadvantaige au livre que j’ay faict De la dignité des braguettes. »
Puisse la même personne nous faire part de ses commentaires si elle devait un jour consulter le catalogue de la bibliothèque Saint-Victor (Pantagruel, VII) !
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